dimanche 26 juin 2011

DU GRAND ART

Bac philo : "Toute activité humaine poussée à son plus haut niveau d'excellence peut-elle s'apparenter à une forme d'art ?"
Prenons le cyclosport. Drôle de choix, mais enfin c'est quand même ce qui nous lie. Déjà le vélo c'est pas facile, tous les facteurs des pays à fort dénivelé vous le diront. A croire que pour certains plus c'est dur, plus c'est long, plus ils aiment ça. Il devient alors tout à fait naturel de se pointer à Saint Félicien ce samedi 18 juin, date de l'Ardéchoise 2011.
Quel parcours demanderont les initiés ? L'AVM bien sûr (Ardéchoise vélo-marathon)pour trois sociétaires du VS (seul club aussi représenté), les 278 km avec 5370 m de dénivelé constituant un mets de choix où ils pourront exprimer toute leur qualité d'endurance, de ténacité et de gestion de l'effort. Et ce n'est pas cette misérable météo, pluvieuse et venteuse nous obligeant à monter les vélos sous des averses bien denses qui attaquera un moral à toute épreuve. A cet égard, mention spéciale à Daniel qui, pour l'occasion, a remisé sa bannière où est inscrit en lettres de feu : "S'il pleut, j'y vais pas".
Le mot épreuve prendra rapidement tout son sens. Etant moi-même sur place pour une modeste Volcanique, j'ai pu mesurer de près la débauche d'énergie nécessaire pour boucler un parcours de 100 km plus long sur un tel terrain. N'allez pas croire que notre tâche fut si aisée.
Pierre, à l'expérience, s'en sort le mieux (6 h 30).
Pascal B. et moi sommes dans le dur dès la troisième heure. Je me rappelerai longtemps de cette montée au Gerbier de Jonc à une allure processionnelle, glacé, trempé, avec une barre à l'estomac, et l'impression d'avoir une enclume sur la roue arrière. Ce n'est pas le bureau des pleurs et par pudeur je tairai le cortège de misères qui m'accompagnera tout au long de cette journée.
A partir de 11 h, le soleil tentera une timide apparition, ce qui permettra à Pascal B. de finir correctement.
Revenons à nos héros. Pascal Z. et Daniel devaient rester solidaires. Ils le seront malgré des aléas physiologiques légèrement incontrôlables. Dans la montée de Saint Agrève, soldat Zun prend "un coup dans le casque". Il décide de libérer le lévrier de Bois d'Arcy qui s'envole irrémédiablement et il finira les 80 derniers kilomètres au courage.
Philosophe, seul devant, Jean-François trace sa route avec sagesse, négligeant les paquets qui peuvent vous emmener mais aussi vous détruire. Il boucle son périple solitaire en 11 h 54 (8ème). Douze minutes plus tard, Daniel est là (15ème). Pascal Z., pas si loin, en termine aussi (31ème). Il leur faut maintenant regagner Saint Victor où sont les voitures. Se retrouver dans la marée humaine n'a pas été facile. Enfin rendus chez Jean-Luc et Cathy, ils pourront décompresser. Dans leurs yeux se lit la douce joie d'une saine fatigue et du devoir accompli.
Pour enfin traiter la question posée en préambule, la réponse est : Oui, le vélo à ce niveau là c'est de l'art, même et surtout par ce temps de cochon (j'ai bon là ?).
En conclusion, nous remercions Jean-Luc et Cathy pour leur hospitalité, leur disponibilité et leur complaisance. Jean-Luc, régional de l'étape, brave parmi les braves, s'amusera sur les Boutières afin de pouvoir consacrer son dimanche à une deuxième cyclo, alpestre de surcroît.
Des cinglés je vous dis, rien que des cinglés ...

samedi 25 juin 2011

ON EST PARTOUT

Résumons : tout l'ouest est sous la coupe d'Eric, le sud est tenu d'une main de fer par Gérard et Benoît, le nord, le grand nord dirais-je, là on a pas rigolé on a envoyé le leader, c'est J.B. qui s'y colle mais je crois qu'il est trop au nord, il est carrément au milieu de la flotte. Ca va J.B. ? T'as pas le mal de mer ? Reste l'est : on avait missionné le barbu aux Trois Ballons mais il n'a jamais réussi à comprendre l'accent alsacien ...

Petit résumé d'Eric sur sa dernière cyclo :

Retour chez les bretons avec Jean-Luc sur la Bernard Hinault grand parcours de près de 200 kms.
Départ avec un temps breton : pluie, vent , soleil avec plus de vent que de soleil : pointe à 55km/h vent de face et latéral sur 80% du parcours.
Départ très rapide vent dans le dos avec les pros de Sojasun...

Première bosse : incident technique pour moi : dérailleur mal réglé
Pied à terre, queue de peloton avec Jean-Luc.
Puis on est resté à cette position pendant une bonne partie de la course dans un groupe de 20 coureurs.
Participation très volontaire de Jean-Luc qui ne s'est pas ménagé pour la suite ce qui lui fut fatal lors de la deuxième grosse difficulté de la journée.
Quant à moi j'ai fini dans ce groupe jusqu'à la troisième difficulté du parcours. Je suis sorti de ce groupe dans la descente avec 4 coureurs : il restait alors 40kms. Nous avons finalement terminé ensemble. J'ai gagné le sprint !! pour terminer à la 38e place en 5h47 2e de ma catégorie.
Jean-Luc : 122e à 6h12 et 19e de sa catégorie.
Le premier est un pro en 5h13

vendredi 24 juin 2011

PARIS-NICE (suite)

Pendant que nous vaquons à diverses occupations, Benoît et Gérard roulent. Ils roulent pour nous, du Trocadéro à la Promenade des Anglais. Une trotte ...

Ca y est, 5 étapes de montagne, et demain c'est l'arrivée à Nice!
Le programme de montagne était corsé. La grande étape faisait 200 km et 4600 m de denivelé avec au programme le Champs Laurent, le Grand Cucheron, la Croix de Fer, et l'Alpe d'Huez. Je pense que je m'en suis assez bien sorti avec plus de 24 km/h de moyenne, une montée de l'Alpe en 1h06 après 185 km et 7 jours de Paris Nice. J'arrive dans les 10 premiers. On a bien vu le maillot de Versailles! Qui est d'ailleurs bien présent a l'Alpe d'Huez car j'y ai vu descendre Laurent qui préparait la Marmotte... Je lui ai proposé de remonter avec moi mais la descente lui était plus favorable... Après cette etape, une étape "à domicile" vers Gap où les coureurs se souviendront longtemps de Parquetout... et où Daniel et Robert, mes voisins à la montagne, sont venus m'encourager à Entraigues. J'étais "à la maison!". Aujourd'hui dure journée avec de la pluie et environ 5 degrés au col de la Cayolle a 2300 m d'altitude. 178 km quand même 3700 m de denivelé et de magnifiques passages autour du lac de Serre Poncon...
Demain descente sur Nice avec quand même trois cols au programme et je pourrai dire. : je l'ai fait !
Quelle belle épreuve dans tous les sens du terme!
A bientôt pour la conclusion...
Benoît

mardi 21 juin 2011

PARIS-NICE (suite)

Benoît et Gérard sont élus à l'unanimité les meilleurs ambassadeurs du Paris-Nice 2011. Avec de telles images, sûr qu'à la prochaine édition on s'y retrouve à une dizaine. A suivre ...

Dimanche 19/06 :
Après 800 km on pourrait croire que l'on ne sait plus grimper. Et bien non! Deux cols aujourd'hui et les jambes m'ont remercié de leur proposer autre chose. Grimpées magnifiques avec de bonnes parties de moulinette! Un vrai régal... Avec arrivée sur le Lac(photo).
A très bientôt!



Lundi 20/06 :
Sous le soleil le magnifique col de L'Arpetaz. Aujourd'hui 3 cols et 3000 m de dénivelé. Et demain La grande Etape, Les Saisies - Alpe d'Huez.
Des moments exceptionnels.

lundi 20 juin 2011

PARIS-NICE


Suivez presque en direct le Paris-Nice de Benoît et Gérard, nos envoyés spéciaux :

Petit compte-rendu des 4 jours de "plaine". Après 800 km de Disneyland (ouvert pour nous à 7h du mat)à Troyes puis Orléans, puis Nevers et enfin Mâcon, nous abordons (enfin!)la vraie montagne dès demain direction Annecy.
Pour les quelques 330 cyclistes expérimentés, l'organisation est exceptionnelle: itinéraires parfaitement balisés, groupes encadrés par des motos, ravitaillements bien organisés (repas chaud à midi) et receptions protocolaires le soir (un peu longues pour nos organismes fatigues...) par les mairies locales. Niveaux des cyclos très variés, mais certains groupes jouent la course... Les étapes se sont toutes faites à plus de 30 km/h de moyenne même lorsqu'il y a du vent ou du dénivelé (2000 aujourd'hui) et cela roule comme une cyclo avec attaques, contre, etc... A se demander ce qui pourrait être plus stupide qu'un groupe de cyclo en peloton! L'etape 2 entre Troyes et Orléans s'est déroulee avec un fort vent de 3/4 face en surplus de 200 km. Par chance on est toujours passé entre toutes les averses. Juste quelques gouttes de pluie éparses.
Ambiance top : entre fous on se comprend! En peloton cela roule bien car tous sont experimentés (beaucoup d'anciens pros ou élite), et des gros rouleurs!!!
Au niveau fatigue tout se passe bien hormis le manque de sommeil (lever avant 6h...), les jambes se font un peu lourdes mais j'en prends soin moi même...faute de masseuse...
Philippe a un début de tendinite au talon d'Achille. C'est inquiétant. A suivre. A noter que Gérard lui aussi est aux anges depuis le début du Paris Nice.
Conclusion : jusqu'ici au delà des attentes....mais les choses sérieuses arrivent!!!!! A très bientôt.

jeudi 16 juin 2011

L'ART DES CHOIX

Ce week-end, sortie dans la Vallée ou Ardéchoise.
Fromage ou dessert.
Pour moi, c'est Ardéchoise et dessert.
Pour les autres, 8 h dimanche à la stèle.

lundi 13 juin 2011

Cyclo de paquet dans toute sa splendeur!

Mercredi prochain je retourne en mer du nord (Norvège) pour une bonne dizaine de jours : Depuis que ce périple est calé dans mon planning, j’avais en tête de tenter de participer à une cyclo, histoire d’exploiter mon honnête condition physique du moment avant que cette nouvelle parenthèse nordique ne l’entame. En consultant le calendrier des cyclosportives, je me suis vite rendu compte que je n’allais pas avoir grand chose à me mettre sous la dent pour ce week end de Pentecôte, dernier créneau possible avant mon départ… Les 3 ballons m’auraient bien tenté, mais une réunion planifiée depuis longtemps sur Paris vendredi après midi ne me permettait pas de me joindre à vous pour le voyage. C’est donc sur une cyclo Bretonne (La Jean-François Rault – Atout cœur à Lamballe) que mon intérêt s’est porté. Tout comme les 3 ballons, l’épreuve avait le mérite d’avoir lieu samedi. Perso, je trouve ça difficile de courir le samedi, parce que cette journée fait office de ‘tampon’ en permettant d’évacuer les fatigues de la semaine (Bon je sais, ce scénario a quand même l’intérêt de ne pas flinguer totalement le we en famille : rien n’est simple…). Quoi qu’il en soit, en me changeant dans ma bagnole samedi matin à la fraîche, j’ai vraiment eu l’impression de passer directement de mon costard cravate de réunion à mon maillot fushia !
Le parcours annonçait 1200m de dénivelé : ça paraissait évidemment faiblard mais je me disais qu’à travers 2, 3 belles bosses bien placées, il y aurait peut-être moyen de s’amuser. Belle désillusion au final, puisqu’au bout de 130kms de l’épreuve il a bien fallu que je me rende à l’évidence : je ne mettrai pas une fois le petit plateau dans cette cyclo !
Je vous passe les détails sur le coté très compact du peloton au début (l’organisation annonçait 1000 participants sur les différents parcours), la traditionnelle première heure de folie et les non moins traditionnelles chutes collectives…
Petite parenthèse d’ailleurs à ce sujet : J’ai encore assisté à des gamelles toutes plus improbables les unes que les autres et je m’interroge vraiment sur le comportement de certains. Je n’arrive plus à attribuer tous les beaux vols planés auxquels j’assiste à la fatalité de la discipline : Il y a quand même beaucoup d’inconscience, de maladresse ou de problème de concentration dans les pelotons des cyclos.
Pour en revenir à l’épreuve, il n’y a donc aucune bosse significative sur le parcours : Les seuls difficultés auront été le vent et …un tout jeune 1ère catégorie de l’équipe espoir Sojasun (Vincent Colas) qui à lui seul, aura tout fait péter en roulant fort pendant 20kms. Quand il s’est calmé le p’tit gars, je me suis retourné et nous n’étions alors plus qu’une vingtaine!
Par la suite, je vais participer à la bonne marche du groupe en imprimant parfois de bons relais; Cela est d’autant plus motivant que nous reprenons l’échappée de 4,5 gars à environ 20 kms de l’arrivée. A ce moment là, je sais que si je reste passif je ferais anonymement dernier du groupe car je n’ai pas l’intention de faire le sprint en cas d’arrivée groupée. Je sais aussi que si je dois tenter quelque chose, c’est maintenant car aux 10kms ça sera trop tard.
A 15kms de l’arrivée, j’attaque donc sèchement en prenant 50m au groupe mais tout le monde réagit et je suis revu après 2kms. J’en ai encore sous la pédale, alors je remets ça 1 km plus loin en constatant que cette fois ci tout le monde se regarde derrière …
Je donne tout ce que je peux dans la petite bosse qui suit, histoire de creuser un peu plus l’écart et peut-être disparaître de la ligne de mire des poursuivants. C’est d’ailleurs fait, car on entame quelques kms de routes sinueuses et quand je me retourne je ne vois personne. A 10 kms de l’arrivée j’ai pris environ 200m sur le groupe. Je suis assez grisé d’avoir les motards et une voiture à ma disposition pour m’ouvrir la route… En recherche d’efficacité, j’ai la bouche grande ouverte, je ne fais que bouffer du bec de selle, j’écarte les cuisses pour soulager mes quadriceps. Je sens que je suis aussi moche que Michel Pollentier (wikipédia pour les jeunes...) sur mon vélo mais je m’en fous … Pour avoir la meilleure trajectoire, je gueule sans délicatesse sur les cyclos du petit parcours que je rattrape, et là aussi je m’en fous un peu… Je vois le panneau ‘arrivée 5 kms’ et je suis toujours en tête. Je commence a y croire même si je me dis que sur 1 tel parcours ça ne peut pas être possible. A 4kms dans une légère descente en ligne droite et à 60km/h, j’ose me retourner et là je vois à 50m derrière le groupe en file indienne en train de fondre sur moi. J’insiste quand même mais à 3kms de l’arrivée je suis rattrapé. Je m’accroche jusqu’à la flamme rouge et puis je laisse filer le groupe s’expliquer dans les rues sinueuses de Lamballe.
Je ne regrette rien car j’aurai vécu quelques minutes intenses sur le vélo que je ne suis pas prêt d’oublier. Pour une ‘cyclo de paquet’ comme celle là, ce n’était pas forcément attendu.

vendredi 10 juin 2011

DES NOUVELLES DES GUERRIERS



Nous sommes revenus de notre stage pour trouver une boîte mail bien pleine, avec des nouvelles d'Eric, de Patrick et de Jean-Pierre partis guerroyer chez les bretons.
Notamment la Morbihannaise avec Eric à la 51ème place (5ème de sa catégorie) en 4 h 17 pour 160 km, Jean-Pierre 73ème (8ème de ca caté.), Patrick 90ème (14ème de sa caté.). Je ne sais pas si c'est la digestion du far breton, du kikafarce ou du kouign-amann mais je ne vous trouve pas particulièrement guillerets sur cette photo.

A suivi la Randocéane où Eric a encore fait parler la poudre : 30ème (5ème de sa caté.) en 4 h pour 160 km, ce qui le place en 2ème place du Trophée de l'Ouest à moins de 19 points du 1er. Tu vas le bouffer Eric, tu vas le bouffer ...



Auparavant, beaucoup d'entre vous ont eu vent du Challenge du Vercors avec la chute de Daniel. Ouvrons donc officiellement le "Renouthon" pour le remplacement du défunt Look 586, glorieusement mort au combat. Faites parvenir vos dons chez ce cher Serge qui transmettra.
Pour les classements du Challenge, je n'arrive plus à mettre la main sur ce foutu papier sur lequel j'avais scrupuleusement noté les résultats. De mémoire, Benoît s'est montré très brillant, ont suivi Didier, Jean-François, Hervé, etc...

Je pourrais faire facilement trois pages sur notre séjour ardéchois mais je préfère garder un petit peu d'énergie pour les récits à venir avec Benoît et Gérard sur Paris-Nice.

Nous sommes en haute saison, ce week-end les Trois Ballons : sûr qu'ils ne vont pas se dégonfler.
Dans 15 jours, l'Ardéchoise, 2ème couche.
Quoi d'autre ? Ah oui, une petite histoire : c'est une tortue qui s'est fait agresser par deux escargots. Elle décide de porter plainte à la plus proche brigade.
Le gendarme : "Comment ça s'est passé exactement ?"
La tortue : "Je ne peux pas vous dire, tout est arrivé si vite ..."
Tout est relatif, n'est-ce pas ?

Sinon, rendez-vous dimanche 12/06 à 8 h à la stèle.

PIQUE NIQUE DU 26 JUIN

Le 26 juin, n'oubliez pas, sur le même principe que l'an dernier, aura lieu notre partie de campagne. Après réflexion, nous proposons un autre endroit plus près afin de faciliter les déplacements. Nous avons choisi l'étang de Clairefontaine en Yvelines qui donne sur la route vicinale en direction de Sonchamp. Je propose un rendez-vous ce jour là à 8 h 30 à Voisins pour les sportifs. Au terme d'une sortie de trois heures, nous pourrons avec les familles nous retrouver sur place pour organiser le concours de la plus belle glacière.
Merci de prévenir Serge de votre venue ou de votre absence.

vendredi 3 juin 2011

LA LETTRE DES VACANCIERS


Chers petits amis,
Nous sommmes bien arrivés en Ardèche chez tonton Jean-Luc et tata Cathy. Il fait beau (9°), on mange bien et on se repose. Hier nous avons fait une grande promenade (194 km, 3500 md). Par le plus grand des hasards nous avons rencontré des petits camarades (Pascal, Didier) qui étaient au camping (la vie est bien faite). Tout le monde était très content et ils ont décidé de recommencer aujourd'hui avec ce grand dadais de Jean-Baptiste qui était là aussi (il va trop vite lui). Moi je suis un peu fatigué alors je vous écris. J'espère que vous allez bien et que vous avez pu vous retrouver à la stèle dimanche à 8 h comme d'habitude.
Excusez moi pour les fotes d'ortografe et pour l'abus de parenthèse mais j'adore ça.
A très bientôt, on vous embrasse bien fort.